Crée un tableau que tu complètes...

Ces faits sont des choses si petites que tu ne vois pas l’intérêt de les noter ?
Note-les tout de même, car dans un cadre de harcèlement, ce n’est pas l’importance du fait mais sa RÉPÉTITION qui fait des dégâts. Courage…

Ces faits sont tellement graves que tu n’oses pas les noter et tu cherches à oublier ?
Note-les soigneusement et mets tes notes dans une boîte en carton. Ajoutes-y les photos compromettantes ou autres messages vocaux ou écrits, enregistrés sur une clé usb. Tu pourras oublier, dès que tout aura été pris en charge. Courage… Tu n’es pas seul.

Ces faits sont tellement répétés que tu ne sais pas par lequel commencer ? Commence par le dernier vécu, celui dont tu te souviens le mieux. Pose ton agenda devant toi et remonte le temps. Sans s’égarer dans ses émotions. Juste les faits.

Tu penses que c’est de ta faute, aussi tu n’oses rien noter?
Bien sûr qu’il s’agit d’une de tes expériences de vie. La plus grande partie de notre cerveau doit pouvoir expérimenter sinon elle ne peut grandir. Tu as commis une erreur? Une immense erreur? C’est une expérience si douloureuse qu’il ne t’appartient plus de l’effacer? Ce n’est pas le moment de te juger. Va de l’avant; c’est le moment de noter les faits. Personne ne peut profiter d’une erreur d’une autre personne pour lui faire davantage de tort. Tu peux écrire les faits. Cela ne viendra pas agrandir l’erreur, ni l’effacer. C’est autre chose, une autre expérience, qui va te permettre de grandir, de construire… A partir de là.

   Bravo! Tu viens de passer la seconde étape. C’était une étape très difficile.

             On continue ?